Plasticienne, performer et vidéaste, Dominique Gonzalez-Foerster développe une pratique transdisciplinaire qui explore les relations entre le cinéma, l’image et le texte, en construisant des espaces et des ambiances qui déroutent la perception du spectateur. Les jardins et les paysages, l’architecture moderniste sont quelques-uns de ces principaux intérêts et se retrouvent au centre de l’exploration qu’elle fait de l’espace.

Dominique Gonzalez-Foerster vit entre Paris et Rio de Janeiro. Elle a déjà fait l’objet d’expositions au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (2007), à la Tate Modern de Londres (2008), au Musée Guggenheim de New-York (2011), au Musée Reina Sofia de Madrid (2014) et au Musée d’Art Moderne de Rio de Janeiro (2015), entre autres. Elle a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2002. Le Centre Pompidou lui consacre une retrospective (Dominique Gonzalez-Foerster. 1887-2058) jusqu’au 1er février 2016.

Organisée par Sarina Basta, curateur Gulbenkian auprès de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris.